bs0d3 écrit "Michael Geist a dit d'une décision judiciaire canadienne récente, le discours anonymes peuvent être autonomisation - les dénonciateurs en dépendent pour préserver leur identité et les intervenants politiques dans certains pays sont confrontés à de graves répercussions si elles s'exprimer publiquement - mais elle comporte aussi le danger de les messages qui traversent la ligne en diffamation sans responsabilisation appropriés ». Bien que je suis en désaccord que la diffamation est une raison acceptable pour un tribunal de trouver l'identité de quelqu'un, l'issue de ce procès semble favorable. Le tribunal n'a pas été appelée à déterminer si les postes en question étaient en fait des propos diffamatoires. Plutôt, elle a simplement posé la question de si elle doit ordonner la divulgation de renseignements personnels sur les affiches elles-mêmes de sorte que quelqu'un pourrait procéder à une poursuite en diffamation. Le tribunal s'est fondé sur «l'affaire Warman c. Fournier,« une affaire de diffamation précédents canadiens et a demandé, '(1) Qu'il y avait un attente raisonnable de l'anonymat, (2) si le demandeur établi une preuve prima facie d'actes répréhensibles par l'affiche, (3) si le demandeur a tenté d'identifier l'affiche et a été incapable de le faire, et (4) si l'intérêt public favorisant la divulgation l'emportent sur les intérêts légitimes de la liberté d'expression et droit à l'intimité de la personne recherchée d'être identifié, si la divulgation est ordonnée. " Dans ce cas, l'ordre d'identifier l'affiche a été refusée. Depuis le demandeur n'a pas identifié les mots spécifiques diffamatoire, elle a omis d'établir une preuve prima facie de la diffamation. Par ailleurs, le tribunal a également statué que les affiches avaient une attente raisonnable de l'anonymat et qu'il y avait suffisamment d'efforts pour essayer de les identifier. "
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